Dimanche, 1^er jour. Suuuurpriiiise.

Nous partons vers une destination inconnue.

6h30 est le rendez-vous fixé aux athlètes pour partir vers le sud.

Vers le soleil ?

Vers un beau stade ?

Vers un superbe hébergement ? Avec piscine ?

La route est belle. Juste un petit détour vers Lyon pour chercher Arthur.

Ah oui, je suis en voiture avec Sandrine et Fabrice.

Le car est parti à 7h20 car un athlète était en retard. Il ne fera pas de détour.

Nous arrivons au camping du sable d’or. Tout semble à sa place.

Surprise, l’accueil est…fermé.

Nous trouvons le responsable. Il nous montre les chalets. Tiens, nous devions avoir des chalets « grand confort » et nous avons des « chalets Provence ».

Surprise, il n’y a que deux chambres et non trois.

Le responsable nous informe que c’est à la demande de Benoit ( ?)

Nous visitons le reste des installations.

La salle de musculation par exemple.

Nous ne risquons pas d’y battre des records, il n’y a pas beaucoup de poids.

Je passe les détails pour le reste de la visite car ça fâche.

Je commence à avoir peur pour le stade.

Le car arrive, nous apprenons par Benoit qu’il manque 2 chalets et qu’il n’a jamais demandé les chalets à 2 chambres.

Surprise.

Surprise encore, le chalet 19 n’a pas de porte aux chambres ni à la salle de bain ou se trouve aussi les toilettes.

La grande classe.

Surprise, le chalet 29 n’a pas d’eau chaude.

J’ai vraiment peur pour le stade.

Le responsable nous donne rendez-vous à 19h15 pour une réunion entre entraîneurs.

Surprise ? Ouiiiiii.

Nos souhaits d’occupation du stade (demandés et acceptés par le responsable il y a trois mois) sont jetés à la poubelle.

Nous devons nous arranger entre clubs. Super.

Nous n’avons plus le stade le mardi matin.

Nous n’avons plus le stade le vendredi de 16h à 19h car il y a un meeting à 18h.

Mais le responsable est gentil, il nous donne des conseils quant à la durée du bain…à la mer.

Oui, la belle piscine qui figure sur la pub est vide.

Surprise ?

Non, plus rien ne me surprend.

Je sais maintenant qu’il y aura des problèmes au stade.

Comment s’appelle le responsable ?

Je ne sais plus. J’ai réussi à oublier, oublier qu’il était responsable.

Mais je me rappellerai toujours du nom de l’irresponsable.

A demain.